Tout a commencé au cours d’une réunion d’équipe, dans un contexte de post-COVID. L’idée était de trouver une nouvelle activité, qui soit sympathique, physique, ludique et - contexte COVID oblige, qui puisse s’effectuer à l’air libre. L’équipe Siel Bleu Calvados a donc imaginé les marches d’orientation. Quel est le principe ? On se retrouve à un point de rendez-vous, on fait des groupes avec les participants présents et il est même plaisant de demander à chaque groupe d’inventer un nom de groupe. Puis on remet à chacun une carte et une feuille de route. Ensuite, on effectue un parcours guidé par des balises, en répondant aux questions posées par ces dernières, et… que le meilleur gagne !
Parfois, on peut même ajouter des défis sportifs. Parmi les avantages de l’activité, on compte le travail physique avec la marche à pieds, mais également le travail intellectuel et cognitif, à travers la réponse aux questions des balises, mais également, l’organisation et l’orientation pour arriver en temps et en heure à l’endroit voulu. Outre la diversité du travail effectué, un autre avantage de l’activité est sans nul doute, la forte propension au lien social instauré par l’activité. Enfin, l’activité est parfaitement adaptable en fonction du terrain choisi ainsi que de la règle du jeu. Dans la mesure du possible, l’idéal est de réunir en tout 15 à 20 personnes.
Les marches d’orientation se soldent toujours par un vrai succès.
L’équipe organisatrice essaie toujours d’améliorer la mise en place des marches et d’innover. Lors des dernières marches d’orientation, l’équipe portait une attention particulière à l’environnement, avec pour objectif de fabriquer des balises réutilisables par exemple. Pour ce qui est des innovations, la diversification des thématiques est également au programme ! L’équipe du 14 fait par exemple appel à une diététicienne partenaire depuis de nombreuses années pour élaborer des questions nutrition.
Pour ce qui est du financement, dans le cas du Calvados, c’est la Conférence des Financeurs et la CARSAT qui financent la majeure partie, afin que le bénéficiaire final n’ait qu’une partie à payer, mais plein d’autres modèles économiques sont possibles.
Rédaction : Lucile Erb
